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NEW YORK, 10 septembre 2016 – Le réalisateur italien Massimo Mazzucco, membre du Comité du Consensus911, vient de diffuser une excellente version courte de son documentaire-choc sorti en 2013, 11-Septembre : Le nouveau Pearl Harbor.

MM's New Pearl HarborMazzucco explique : “Le film original traite de toute l’histoire du débat sur le 11/9, vu depuis les deux camps – celui du Mouvement pour la vérité sur le 11/9, et celui des débunkers du monde entier. Ce résumé se veut une introduction au film complet, et non un film autosuffisant sur ce sujet.”

Pour donner une idée de la qualité du film original, nous reprenons ici une partie de sa recension par le Dr. David Ray Griffin, cofondateur du 9/11 Consensus Panel.

Il y avait déjà beaucoup d’excellents films et vidéos sur le 11-Septembre. Mais le dernier documentaire du réalisateur plusieurs fois primé, Massimo Mazzucco, est clairement au-dessus du lot.

Pour tous ceux qui ont travaillé sur le sujet du 11-Septembre toutes ces années, voilà le film que nous attendions.Nous avions déjà de très bons films traitant du caractère fallacieux de telle ou telle partie du récit officiel, les Tours Jumelles, le Bâtiment 7, etc., mais Mazzucco nous propose ici un documentaire complet qui englobe virtuellement l’ensemble des problèmes liés aux faits du 11-Septembre.La volonté de Mazzucco d’englober la totalité de la problématique l’a amené à produire un film d’une durée de près de 5 heures, qui est cependant si fascinant et trépidant que beaucoup voudront le regarder en une seule fois. Mais ce n’est pas obligatoire, car ce documentaire, en 3 DVD, comporte 7 parties, chacune étant divisée en de nombreux chapitres de courte durée. Ces 7 parties concernent la Défense aérienne, les pirates de l’air, les avions, le Pentagone, le Vol 93, les Tours Jumelles et le Bâtiment 7. Dans chacune d’elles, après avoir présenté les faits qui contredisent le récit officiel, Mazzucco traite chacune des affirmations des debunkers (c’est-à-dire ceux qui cherchent à invalider les éléments et les preuves avancées par la communauté de chercheurs sur le 11/9).

L’introduction, comme l’indique le titre du film, établit 12 parallèles étonnants entre Pearl Harbor et les attentats du 11-Septembre.

Ce film s’adresse aussi bien à ceux qui ne connaissent pas le sujet du 11-Septembre (au-delà de la version officielle), qu’à ceux qui possèdent une connaissance partielle des différents problèmes que pose la version officielle, et aussi aux experts du sujet (j’ai moi-même appris beaucoup de choses).

Mazzucco souligne bien le fait que son documentaire couvre les 12 années de débat sur le 11/9. Et tous ceux qui ont contribué à rechercher la vérité sur le 11/9 pendant ces longues années verront que leur travail est finalement récompensé : nous avons à présent un film extrêmement bien documenté qui montre de façon éclatante combien le récit officiel sur le 11-Septembre a été fabriqué de toutes pièces.

 

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New York, 8 sept. 2016 – A l’approche du 15e anniversaire des attentats du 11/9, et avec ces guerres et ce terrorisme post-11-septembre toujours plus intenses, le Comité du Consensus911 est plus que jamais engagé à “fournir une source fiable d’informations à même d’être utilisée pour toute enquête qui pourrait être menée par le public, les médias, le milieu académique, ou toute autre institution ou entité d’investigation.”

Cette année, les 23 membres du Comité ont publié deux nouveaux Points de consensus, en utilisant le modèle de validation basé sur “les éléments les plus probants” très utilisé dans le milieu médical.

NYT: Tale of the TapeLe premier Point, “Comparaison entre les affirmations d’incendies infernaux dans la Tour Sud et les transcriptions radio des pompiers de New York” dément catégoriquement la version officielle selon laquelle les étages situés dans la zone frappée par l’avion étaient en proie à un “brasier infernal,” qui aurait soi-disant causé la fonte de l’acier et provoqué l’effondrement de la tour.

Le second Point de consensus publié cette année concerne l’omission totale, dans la narrative officielle, des témoignages de deux hauts responsables de la ville de New York qui ont rapporté avoir survécu à une énorme explosion à l’intérieur du World Trade Center 7 (WTC 7) le matin du 11-Septembre, et être restés coincés dans la cage d’escalier pendant 90 minutes.
Ces deux Points de consensus viennent s’ajouter aux déjà très nombreuses preuves selon lesquelles le 11/9, utilisé pour promouvoir le “choc des civilisations” avec le monde musulman, n’est rien d’autre qu’une vaste escroquerie qui comprend : Le Word Trade Center, le Pentagone, les pirates de l’air, les appels téléphoniques depuis les avions, les fausses images vidéos de sécurité, et les errements des commandements militaires et politiques ce jour-là.
Une fois qu’ils ont compris la stratégie impérialiste derrière le 11/9, nombreux sont ceux et celles, y compris dans le monde académique, qui trouvent impossible de continuer à vivre dans cette matrice illusoire, et qui consacrent leur temps à informer les autres. C’est aussi dans ce but que certains membres du Comité du Consensus911 continunent de s’occuper des événements du 11/9.

Par exemple, le Dr. Niels Harrit, professeur émérite de Chimie à l’université de Copenhague, avait publié plus de 60 articles revus par des comités de lecture dans les plus importants journaux de Chimie, quand il a pris connaissance en 2007 de l’étrange effondrement du WTC 7. Il a, depuis cette date, donné plus de 300 présentations au sujet du WTC, dans des pays aussi variés que Danemark, Suède, Norvège, Allemagne, Hollande, France, Suisse, Espagne, Royaume-Uni, Canada, USA, Chine, Australie, Russie et Islande. En mai 2016, il a donné une conférence à Londres, et en août 2016, au World Social Forum à Montreal.

Frances Shure, une avocate professionnelle spécialisée en “psychologie profonde” a expliqué à la télévision publique du Colorado en août 2016, les principaux points de sa série révolutionnaire “Pourquoi des gens biens deviennent parfaitement silencieux – voire pire – au sujet du 11/9 ?”

Le Dr. Graeme MacQuenn, professeur émérite d’Études sur la Paix à l’Université McMaster, a publié une analyse de la psychose concernant les spores d’anthrax qui avait suivi le 11-Septembre, sous le titre The Anthrax Deception: The Case for a Domestic Conspiracy. Il a donné en 2016, plusieurs conférences sur le 11/9 à Montréal, San Francisco, et New York.

Deux autres membres du Comité, le physicien David Chandler, et l’ingénieur Jonathan Cole, tiennent un site Web, sur lequel ils publient les résultats de leurs recherches indépendantes, et qui est affilié à ceux des quelque 2600 Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 et à celui des Scientifiques pour la vérité sur le 11/9.

Le cofondateur du Comité, le Dr. David Ray Griffin, a écrit un 11e livre sur le 11/9, Bush and Cheney: How They Ruined America and the World [Bush et Cheney : Comment il ont ruiné l’Amérique et le monde entier], qui sera publié en novembre. Dans la 1ere partie du livre, il liste les nombreuses façons dont l’administration Bush-Cheney a affaibli la constitution US, et causé le chaos dans le grand Moyen-Orient, qui s’est déversé sur l’Europe. Dans la seconde partie, il explique que la version officielle du 11/9 ne peut en aucun cas être vraie, car elle fait appel à au moins 13 miracles – y compris des violations des lois de la Physique.

by E.W., Aug. 9 at WSF 2016Elizabeth Woodworth, l’autre cofondatrice du 9/11 Consensus Panel, a donné en août une présentation PowerPoint au World Social Forum de Montréal, évoquant le travail du Comité du Consensus911, et certains de ses éléments de preuve les moins connus – mais néanmoins surprenants. Une émission d’une heure y sera consacrée en septembre sur une chaine câblée de Colombie britannique.
Le Comité tient à remercier son équipe de traducteurs bénévoles, qui a permis de rendre accessible ce travail dans 6 langues différentes.

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Source: The 9/11 Consensus Panel @consensus911
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Le 22 octobre – C’est avec une grande tristesse que le 9/11 Consensus Panel a appris la soudaine maladie et la disparition de l’un de ses membres honoraires les plus respectés, représentant du Labor au parlement britannique, Michael Meacher, qui était devenu membre honoraire du 9/11 Consensus Panel en septembre 2011.

M. Meacher est décédé le 21 octobre, à l’âge de 75 ans, après avoir été élu député de l’Oldham West et de Royton pendant 45 ans. C’était l’un des 36 parlementaires du Labor à avoir soutenu Jeremy Corbyn lors de sa candidature à la présidence du parti du Labor cette année.

La notice nécrologique de la BBC a fait part d’innombrables hommages rendus à cet homme respectable et connu pour son intégrité hors-norme.

M. Meacher avait ouvertement critiqué l’échec des États-Unis à empêcher la survenue [des attentats] du 11-Septembre, lesquels avaient – comme il le déclara au Guardian en septembre 2003 – « offert un prétexte extrêmement commode » pour justifier les actions militaires en Afghanistan et en Irak, lesquelles avaient clairement été planifiées avant le 11 septembre 2001.

Dans son premier livre sur le 11-Septembre, « Le Nouveau Pearl harbor », David Ray Griffin (confondateur du 9/11 Consensus Panel) avait consacré plusieurs pages à la controverse déclenchée par M. Meacher en 2003.

MM Griffin et Meacher s’étaient connus en 2005, lors d’un interview par une chaine télé, et entre deux prises de vue, avaient trouvé le temps pour « une brève, mais très amicale conversation. »

En mai 2005, M. Meacher avait présenté au parlement une proposition de loi sur le changement climatique, demandant à son gouvernement de s’engager à réduire de 3% les émissions de gaz CO2 chaque année.

Le 9/11 Consensus Panel exprime ses condoléances à toutes les personnes, en Grande-Bretagne et dans le monde, auxquelles manquera la contribution active, intelligente et constructive de cet homme d’État expérimenté.

 

Note de l’éditeur : Nous attirons l’attention de nos lecteurs sur cet article paru dans Op-Ed et écrit par le Dr John Wyndham (Docteur en Physique, université de Cambridge), coordinateur de l’association Scientists for 9/11 Truth. Cet article est paru dans le Keene Sentinel le 11 septembre 2015.

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Les faucons va-t-en-guerre de la droite américaine veulent torpiller les accords entre le Président Obama et l’Iran, dans le seul but d’aller vers la guerre. Leur plan, qui consiste à s’approprier militairement le Moyen-Orient, est connu du public depuis des années maintenant. Et les accords entre Obama et l’Iran, soutenus par la Grande-Bretagne, la France, la Chine, la Russie et l’Allemagne, stopperaient net leur stratégie belliqueuse. Ces plans sont apparus pour la première fois en pleine lumière avec les attentats sous fausse bannière du 11 septembre 2001 (11/9), aussi appelés, « Le Nouveau Pearl Harbor », un scénario envisagé par les néoconservateurs eux-mêmes dans leur Think Tank « Project for a New American Century » (PNAC). Le public incrédule a mis longtemps avant de comprendre.

Le Général Wesley Clark, conseiller du président en 2004, a expliqué ces plans à Amy Goodman de Democracy Now le 2 mars 2007. Clark y raconte que quelques semaines après le 11/9, alors que les USA bombardaient l’Afghanistan, un général du Pentagone (non identifié) avec lequel il travaillait au sein du Commandement interarmes lui avait dit ceci : « Nous allons envahir sept pays en cinq ans, en commençant par l’Irak, la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et enfin l’Iran. »

Clark a compris que le pétrole était au centre des guerres au Moyen-Orient. Lors d’une interview en 2012 avec Mike Gray, le Général Clark a « souligné explicitement le rôle central du pétrole dans la stratégie militaire des USA » (Business Insider). D’autres personnalités connues ont pointé du doigt le pétrole comme étant la principale raison de la guerre en Irak, comme l’ancien président de la Réserve fédérale US, Allan Greenspan, l’ancien sénateur et ministre de la Défense, Chuck Hagel, ou encore le général John Abizaid, ex-chef du Commandemant Central US et des Opérations militaires en Irak.

Le but du PNAC était de « promouvoir la domination globale des USA », un objectif long et difficile à atteindre, « à moins d’un événement catastrophique et catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor. » Parmi les signataires du PNAC, on trouve Jeb Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld et Paul Wolfowitz. D’après Bob Woodward, reporter au Washington Post, le ministre de la Défense, Donald Rumsfeld « avait pour habitude de brandir et de recommander » le livre de Roberta Wohlstetter, paru en 1962 « Pearl Harbor : Warning and Decision », dans les mois précédant le 11-Septembre.

Alors que l’attaque contre le Pentagone était en cours le 11/9, Donald Rumsfeld a été photographié sur la pelouse devant le Pentagone en train d’aider à transporter les blessés. L’absence de Rumsfeld de son poste de commandement en plein coeur des attentats vient confirmer ce qu’ont découvert des milliers de personnes hautement diplômées, scientifiques, chercheurs, ingénieurs, universitaires, a savoir que le 11/9 était une opération sous fausse bannière menée par des éléments de notre propre gouvernement et de notre armée, aidés par d’autres au sein de certains gouvernements étrangers.

Deux propositions de loi, H. Res 14 et S. 1471, visent à exiger la publication des 28 pages censurées du rapport de l’enquête du Congrès [sur le 11/9], qui portent sur l’implication d’un gouvernement étranger dans les attentats du 11/9.

En partant des preuves physiques et des témoignages oculaires, certains scientifiques indépendants ont conclu que les Tours Jumelles et le Bâtiment 7 du WTC à New York avaient été détruits par une forme de démolition contrôlée à base d’explosifs. Les tours n’ont PAS été détruites par les impacts d’avion, les feux de kérosène ou les feux de bureau. Presque 3000 innocents sont morts le 11/9 à New York, plus d’un millier de personnes ont respiré les poussières toxiques et en sont mortes, et plusieurs milliers d’autres (3700 d’après le New York Post du 9 sept. 2015) sont malades ou mourants du fait de ces poussières toxiques. Cette poudre était constituée de fines particules de béton, d’amiante, de verre, de thermite ou de ses dérivés, et de fragments d’ordinateurs dispersés par la force des explosions.

Les rapports du NIST (National Institute of Standards and Technology) sur la destruction des tours de New York sont frauduleux, comme le montre un article scientifique coécrit par l’auteur de cet article et publié en 2004 par l’IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers). L’IEEE est la plus grande organisation [d’ingénieurs] dans le monde avec près de 500 000 membres. L’article intitulé « Ethics and the Official Reports » est consultable sur le site ilfattoquotidiano.fr (article original => scientistsfor911truth.com). Depuis le début, les guerres du Moyen-Orient sont fondées sur le mensonge.

Les relations entre les USA et l’Iran aujourd’hui sont la conséquence directe du renversement en 1953 par la CIA et les agents britanniques du MI6 de Mohammad Mosaddegh, le Premier ministre de l’Iran démocratiquement élu. Mossadegh avait nationalisé l’industrie pétrolière iranienne, jusqu’alors sous contrôle britannique depuis 1913.

La guerre d’Irak fut elle aussi basée sur le mensonge des armes de destruction massive (WMD), alors que, comme cela a été reconnu plus tard, le véritable objectif était le pétrole.

Selon certaines estimations, l’Iran possède davantage de réserves de pétrole que l’Irak. L’Iran est aussi perçu comme une menace par Israël, dont l’influence au sein du Congrès US est considérable, comme le prouve l’intervention de Benyamin Nethanyahou le 3 mars 2015, dans lequel il s’opposait frontalement aux accords avec l’Iran.

Ces mêmes prêcheurs de guerre qui nous ont menés à la guerre d’Irak s’opposent aujourd’hui à un accord avec l’Iran. Leurs arguments sont encore une fois basés sur la peur, une technique bien connue pour amener le peuple à soutenir l’idée de partir en guerre. Six jours après le discours de Netanyahou, 47 sénateurs républicains, dont Kelly Ayotte du New Hampshire, ont envoyé une lettre par email aux « dirigeants de la République islamique d’Iran » dans le but de faire obstacle à la politique étrangère américaine et à l’accord américano-iranien. Ces 47 sénateurs semblent avoir leur propre agenda, différent de celui issu du système de gouvernement établi par la Constitution des États-Unis. Cet agenda semble être la domination de pays étrangers et l’acquisition des ressources au moyen de guerres préventives

Les plans néoconservateurs visant à l’hégémonie américaine dans la région du Moyen-Orient avec sa vaste population musulmane paraissent aussi irréalistes que la tentative britannique de diriger l’Inde avec quelques centaines de milliers de soldats.

Ces guerres d’agression violent le droit international en place et ont coûté des milliers de vies humaines. Nous subissons en ce moment le contrecoup de l’invasion US en Irak, au travers de l’émergence de l’EIIL. Avec 32 millions d’Irakiens et 76 millions d’Iraniens, à quoi pourrait ressembler le contrecoup d’une guerre avec l’Iran ? Est-ce que quelqu’un doté d’un cerveau peut raisonnablement se prononcer pour la guerre plutôt que pour la diplomatie qui seule peut mener à la paix et à l’amitié ? Il est grand temps pour le Congrès et le peuple américain d’identifier les forces qui nous dirigent tout droit vers la guerre, de les stopper, et de revenir au bon sens, à la légalité et à la justice.

John D. Wyndham

Peterborough, NH 03458

Le Dr John D. Wyndham est aussi le coordinateur de l’association Scientists for 9/11 Truth.

 

Le Dr David Ray Griffin est cofondateur (avec Elizabeth Woodworth) du 9/11 Consensus Panel, qui a vu le jour en 2011.

À ce jour, M. Griffin a écrit dix ouvrages sur le 11-Septembre.

Cette année, il vient de publier un nouveau livre très documenté sur le réchauffement climatique : Unprecedented: Can Civilization Survive the CO2 Crisis? Cet ouvrage extrêmement complet a été qualifié de « grand service rendu à l’humanité ».

David Ray Griffin a aussi publié un nouvel article : “9/11 and Global Warming: Are They Both False Conspiracy Theories? [11/9 et réchauffement climatique : s’agit-il de deux théories conspirationnistes?]”
À ce propos il écrit :

« Cet essai s’adresse aux membres du Mouvement pour la vérité sur le 11/9, qui pensent que les attentats du 11-Septembre furent un coup monté orchestré par l’administration Bush-Cheney et présenté par eux comme une attaque menée par des musulmans. Certains membres de ce Mouvement pensent qu’étant donné la façon dont on a cherché à nous mener en bateau avec la version officielle du 11/9, le même raisonnement s’applique à la théorie du réchauffement climatique, qu’ils classent également dans la catégorie des théories du complot. J’essaie de montrer que la conclusion selon laquelle le récit officiel du 11/9 est faux ne donne aucune raison particulière de suspecter que la théorie du réchauffement du climat constitue un nouveau canular. Cet article ne cherche pas à remettre en cause les convictions des membres du Mouvement pour la vérité sur le 11/9, mais à contester certaines croyances de ses membres [sur le changement climatique]. »

Cet article a été mis en ligne sous le titre David Ray Griffin Examines 911 and Global Warming et est également téléchargeable au format PDF (en anglais) sur ce site.

 

NEW YORK, 9 septembre 2015 – Quatorze ans après les événements du 11-Septembre qui ont changé le monde, de nouveaux éléments réfutant la version officielle continuent d’être révélés par un Comité de 23 chercheurs professionnels. Ce jour, le 9/11 Consensus Panel publie deux nouveaux points de consensus présentant les preuves d’une préconnaissance des attentats de la part des officiels.

Le premier Point de consensus traite d’Able Danger, le nom de code d’une opération de renseignement de haut-niveau cofondée par les généraux Hugh Shelton et Peter Schoomaker, les commandants en chefs du département des opérations spéciales de la Défense (SOCOM).

Able Danger avait permis de découvrir que l’homme identifié comme « Mohamed Atta » se trouvait aux États-Unis en janvier-février 2000, soit environ 18 mois avant les attentats du 11-Septembre, alors que la version officielle fixe son arrivée à juin 2000. Les officiels ont également affirmé que le renseignement US ne savait pas qu’Atta était aux USA jusqu’au jour du 11-Septembre, alors que cette branche essentielle des services secrets US savait pertinemment qu’il se trouvait aux États-Unis depuis janvier-février 2000.

Malgré cela, l’opération Able Danger a été constamment ignorée par les responsables du gouvernement avant les attentats ; la Commission sur le 11/9 n’a pas jugé bon après coup de mentionner ces éléments ; et l’inspecteur général du département de la Défense a par la suite dissimulé cette affaire.

Louis Freeh, l’ex-directeur du FBI a qualifié de « stupéfiante » l’affirmation de la Commission sur le 11/9 selon laquelle ces éléments n’étaient pas « historiquement significatifs ».

Le deuxième point de consensus montre que l’attaque contre le Pentagone était attendue par différentes personnes avant qu’elle ne survienne. Plusieurs exercices militaires d’entrainement avaient impliqué des avions allant percuter le Pentagone, ce qui indique qu’une telle attaque était loin d’être inattendue. De plus, les journaux ont fait part d’avertissements émanant de différentes sources et conseillant à des officiers du Pentagone (entre autres) de ne pas prendre l’avion le 11-Septembre.

Le matin du 11/9, le ministre de la Défense, Donald Rumsfeld, a prédit qu’une telle attaque allait se produire. Dans son bureau, regardant les images de New York à la télévision, il aurait prononcé cette phrase : « Croyez-moi, ce n’est pas terminé. Il va y avoir un autre attentat, et ça pourrait bien être pour nous. »

Dans le même temps, et malgré des conditions de trafic extrêmement difficiles, le FBI est arrivé sur place en moins de cinq minutes et a confisqué les enregistrements des caméras de sécurité présentes en différents points autour du Pentagone, alors que celles-ci auraient pu filmer la partie du bâtiment qui venait d’être frappée.

Le correspondant de NBC au Pentagone, Jim Miklaszewski, a été mis en garde à l’avance par un officier du renseignement militaire US qui lui aurait dit : ‘’cette attaque était si bien coordonnée que si j’étais vous, je resterais loin de l’anneau E – l’anneau extérieur du Pentagone où se trouvaient les bureaux de NBC -, pour le reste de la journée, car nous sommes les suivants sur la liste.’’ »

Les Points déjà publiés à propos de la préconnaissance des événements portent sur l’effondrement du World Trade Center 7, les preuves de délits d’initiés, ou encore le rôle du vice-président Dick Cheney et celui du maire de New York, Rudolf Giuliani.

Le Comité du 9/11 Consensus emploie une méthodologie utilisée en médecine pour atteindre des consensus sur des sujets spécifiques en partant des éléments les plus probants. Durant ce processus d’élaboration, les experts appelés à répondre n’ont pas connaissance des avis des autres, et ce, au cours des trois cycles de relecture et de feedback.

En quatre ans, le Comité du 9/11 Consensus a publié pas moins de 46 points réfutant la version officielle des attentats.

Source: Le 9/11 Consensus Panel   @consensus911
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Tower exploding, for Donald E. Stahl review by EMWRecension rédigée par Elizabeth Woodworth, co-fondatrice de consensus911.org, de la présentation faite par Donald E. Stahl lors de la réunion annuelle de l’American Mensa, Louisville, Kentucky, le 3 juillet 2015

La présentation de Stahl pourrait bien faire date dans la littérature sur le 11-Septembre.

Stahl définit le 11/9 comme « une histoire trop grande pour faire l’objet d’une enquête » (too big to cover), dans l’évolution du contexte du « complexe militaro-industriel » d’Eisenhower, qui entretemps est devenu le complexe miliraro-médiatico-académico-industriel (military-industrial-media-academic complex, ou MIMAC).

Depuis plusieurs décennies déjà, les médias ont abandonné leur rôle traditionnel consistant à enquêter sur les preuves de complots gouvernementaux. Et désormais le monde académique leur a emboité le pas.

Les acteurs du monde académique sont demeurés tellement silencieux sur la question du 11-Septembre qu’aujourd’hui, ceux qui sont étiquetés de « complotistes » peuvent en réalité être considérés comme plus «académiques » que les académiciens eux-mêmes.

Il s’ensuit que les « complotistes » (ou les « théoriciens du complot ») discutent abondamment de cette question, tandis que les « conventionnalistes » (ou théoriciens des coïncidences) se contentent de parler de ceux qui discutent de la question. Autrement dit, « ils professent un credo en oubliant de dire pourquoi ils y croient. » [ … ]

Aussi bien la version gouvernementale que la version alternative parlent de complot, mais seule la partie qui critique le gouvernement est qualifiée de « complotiste », comme s’il s’agissait d’un délit d’opinion qui doit obligatoirement être criminalisé par le gouvernement, comme l’a suggéré Cass Sunstein.

Comme exemple suprême de la controverse, Stahl évoque la discussion sur la question de savoir si on a fait exploser les Tours Jumelles, ou si, comme le veut la version officielle, elles se sont écroulées [toutes seules].

C’est précisément au moment où le NIST commençait son étude qu’une nouvelle loi était votée (1er octobre 2002), selon laquelle les tableaux et les simulations informatiques utilisés dans le rapport du NIST pouvaient rester secrets. Le directeur du NIST pouvait les tenir secrètes si la « sécurité publique » était mise en jeu.

Rappelons que l’objectif du rapport du NIST était d’étudier « les améliorations possibles dans la façon de concevoir, construire, maintenir et utiliser des édifices. »

Stahl pose la question : « Si les informations concernant la construction des bâtiments peuvent mettre en péril la sécurité publique, alors ne sont-elles pas dangereuses seulement si elles restent secrètes ? Pourquoi cacher tout cela à l’ensemble de l’industrie du bâtiment ? »

En outre, les simulations informatiques cachées ne concernent que ce qui a été défini, de façon très restrictive, comme « la cause initiale des effondrements » et non les effondrements eux-mêmes.

Stahl qualifie de « ridicule » et de « folie » une enquête qui n’analyse que les causes sans étudier les effets, et se demande : « Comment peut-on déterminer les causes d’un événement, sans étudier l’événement lui-même ? »

Après quoi, Stahl redevient plus sérieux et se concentre sur l’aspect visuel de l’événement : les preuves photographiques des effondrements que le NIST avait qualifiées de « peu significatives ».
Les images des explosions sont tout simplement extraordinaires. Dans cette partie, Stalh tourne en ridicule l’usage ambigu par le NIST du terme « effondrement » – qui signifie une chose qui perd son intégrité à l’intérieur, se contracte et tombe vers le bas – en montrant des photographies d’énormes éjections vers le haut de poutres d’acier et de plaques d’aluminium, ainsi que d’énormes nuages de poussière qui font tout, sauf se contracter.

L’évidence est là, sous nos yeux : « les effondrements sont intérieurs et vers le bas, alors que les explosions vont vers le haut et à l’extérieur. »

« S’est-il jamais produit sur Terre une chose pareille ? » se demande Stahl en montrant une des photos. « Un gratte-ciel se transforme en puits de poussière. Cette poussière ne couvre pas le bâtiment qui est derrière elle. Une fois que le vent l’a emportée, le bâtiment n’est plus là. La poussière EST le bâtiment. »

Ceci est la démonstration évidente de la façon dont le NIST a menti de façon éhontée (et stupide). Ces mensonges ne peuvent cependant pas être étudiés par une enquête judiciaire, ni faire l’objet d’une requête FOIA (Loi sur la liberté de l’information). Les parties du rapport considérées comme confidentielles ne peuvent être rendues publiques que par la volonté d’une seule et unique personne : le directeur du NIST lui-même.

C’est une véritable honte, étant donné que le NIST n’est en aucun cas une agence de sécurité, mais un établissement qui traite des normes de sécurité des structures publiques. Les médias, tout comme le monde académique, auraient dû se révolter devant ce comportement malhonnête, et ce, depuis le premier jour.

Il n’est pas trop tard. Est-ce qu’une présentation bien documentée et convaincante faite lors de la réunion annuelle du MENSA ne constitue pas une nouvelle digne d’intérêt ?

Elizabeth Woodworth

Vous pouvez trouver ici la présentation complète faite par Stahl au MENSA Institute.

 

Griffin-327x305 Photo from Clarity Press Unprecedented Web page21 mai 2015, Santa Barbara

L’une des principales raisons pour lesquelles j’ai autant écrit sur le 11-Septembre était ma peur de voir les mensonges proférés par l’administration Bush-Cheney nous pousser vers la guerre et nous focaliser sur le « terrorisme ». En plus d’être horribles en elles-mêmes, cette guerre et cette focalisation détournent les États-Unis et le monde en général du principal problème qui devrait nous préoccuper : le réchauffement global et le changement climatique qu’il engendre.

Cette peur s’est malheureusement vérifiée. Et aussi absurde que cela puisse paraitre, mes livres sur le 11-Septembre se sont mieux vendus récemment que mon ouvrage sur le réchauffement climatique “Unprecedented: Can Civilization Survive the CO2 Crisis? [Inédit : Notre civilisation peut-elle survivre à la crise du CO2 ?]”

David Ray Griffin, 21 mai 2015

 

Dr. MacQueen and Architect Bill Brinnier, Dec. 10 2014 Press Conference, Parliamentary Press GalleryÀ la suite de la conférence de presse parlementaire du 10 déc. 2014 (voir ci-dessous), la Peticionan al gobierno de Canadá revisar la evidencia del 11-S [pétition sur le 11/9] présentée récemment au parlement canadien et qui appelle à un nouvel examen du Rapport de la Commission sur le 11/9 a reçu un écho national en passant sur Global TV :

11-Septembre : Conférence de presse de 3 organisations à Ottawa

Global TV a notamment, à cette occasion, retransmis la déclaration du Dr. Graeme MacQueen, membre du Comité (Panel) du Consensus911 à propos des 44 Points de Consensus élaborés par ce comité et qui remettent en cause le Rapport de la Commission sur le 11/9.

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POUR DIFFUSION IMMÉDIATE 10 décembre 2014

Conférence de presse, mercredi 10 décembre, 11 h 00
Salle Charles Lynch, 130-S, Centre Block Parliament Hill, Ottawa

Trois organisations professionnelles présentent leurs preuves
factuelles sur le 11/9, et tendent la main aux familles américaines de victimes

OTTAWA (Ontario) – Le Gouvernement canadien a reçu une pétition appelant à un examen des nouveaux éléments factuels sur les événements du 11-Septembre.
La pétition parlementaire oblige le gouvernement à y répondre dans les 45 jours calendaires.
Cette pétition a été signée par un ensemble de citoyens répartis dans tout le Canada et est soutenue par trois organisations professionnelles qui travaillent depuis des années sur les faits du 11-Septembre :

  • ReThink911.ca, basée à Ottawa, cette organisation insiste sur le rôle important des familles américaines de victimes dans le lancement de cet appel pour une enquête indépendante sur le 11/9. En honorant leur mort, ils veulent que la vérité soit faite, et que la disparition de leurs êtres chers soit respectée.
  • Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11/9 (ae911truth.org), qui compte aujourd’hui 2300 architectes en Ingénieurs, appelle à une nouvelle enquête sur la base des éléments de preuve d’une démolition contrôlée [des Tours du WTC]. Cette organisation a produit un documentaire extrêmement sérieux sur le sujet, “Les Preuves Explosives du 11/9 : des experts se prononcent” (traduit en français) dans lequel 40 spécialistes techniques du bâtiment expliquent pourquoi ils concluent à une “démolition contrôlée”. Cette vidéo a été la “plus regardée” (“most watched”) au niveau national sur PBS.org en septembre 2012, et est disponible en anglais dans une version de 15 minutes avec comme narrateur l’acteur Ed Asner.
  • Le 9/11 Consensus Panel (consensus911.org): 24 experts membres de l’organisation internationale 9/11 Consensus Panel ont, au cours de ces 3 dernières années, mis au point 44 Points de Consensus présentant les “éléments les plus probants” (best evidence) qui remettent en cause le récit officiel des attentats du 11-Septembre. Lors de la validation de ces Points de consensus, le procédé rigoureux utilisé veut que les membres du comité d’experts ne sachent rien de l’avis des autres membres. Parmi les Points élaborés, certains concernent les surprenantes activités des principaux dirigeants politiques et chefs militaires ce jour-là. Ce procédé d’élaboration de consensus a apporté un degré de crédibilité jamais atteint auparavant quant à certains éléments liés aux attentats du 11-septembre.

 

Note : L’extrait original en anglais retransmis par Global TV est disponible ici : “Petition asks Canadian government to review 9/11 evidence

 

drapeau_AllemandLes médias ont clamé haut et fort que plus de 10 ans après les faits, ils sont incapables d’évaluer les éléments techniques qui contredisent la version officielle des attentats du 11-Septembre.

Un problème similaire existait dans le domaine de la médecine, lorsque plusieurs approches contradictoires et non évaluées coexistaient pour la formulation d’un diagnostic ou d’un traitement. Ce problème a été grandement résolu par l’introduction de la médecine « basée sur les éléments probants » (evidence-based). Par l’utilisation de méthodes rigoureuses de relectures critiques, la médecine a aujourd’hui développé des centaines de « déclarations standards de consensus » destinées à aider les praticiens du monde entier en matière de diagnostics et de traitements médicaux.

De la même façon, 24 experts membres depuis trois ans du Comité de Consensus sur le 11-Septembre (9/11 Consensus Panel) ont développé 44 Points de Consensus basés sur « les éléments les plus probants » qui contredisent la version officielle du 11/9.

Ces experts qui n’avaient pas connaissance les uns des autres durant tout le processus ont participé à trois cycles de relecture et de feedback qui ont permis de raffiner ces 44 Points de consensus.

Cette méthode scientifique a permis à certains éléments probants réfutant les événements du 11/9 d’obtenir un niveau de crédibilité sans précédent.

La version allemande du 9/11 Consensus est accessible à l’adresse : www.consensus911.org/de/

Tod Fletcher 1.3 x 1.06Thomas (‘’Tod’’) Christopher Fletcher est né le 27 février 1952 dans le comté d’Alameda en Californie. En 1980, alors qu’il étudiait à Berkeley, il épousa Susan Elizabeth Peabody, une étudiante qui deviendra plus tard professeure de littérature anglaise.

Tod a suivi un Master en Géographie à Berkeley, et a soutenu sa thèse en 1982 (“The Mono Basin in the Nineteenth Century: Discovery, Settlement, Land Use,” 1982).

Il travailla ensuite plusieurs années à son doctorat qu’il compléta presque entièrement sauf sa thèse (‘’dissertation’’). C’est à cette époque que sa femme Susan contracta une maladie chronique connue sous le nom d’ « hypersensibilité à l’environnement », qui s’aggrava à un tel point qu’elle en resta clouée au lit. Désireux de prendre lui-même soin d’elle, il ne put postuler qu’aux postes d’enseignant situés non loin de son domicile. Il enseigna à l’Université de Berkely jusqu’au jour où son financement fut stoppé par l’université, après quoi il enseigna dans d’autres lycées alentour.

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Dr. David Ray GriffinTod Fletcher, l’un des membres du Comité du Consensus911 a écrit une critique élogieuse du Dr. David Ray Griffin (ci-contre), mettant en avant son immense contribution à la communauté du Mouvement pour la vérité sur le 11/9, dans le chapitre, “Championing Truth and Justice: Griffin on 9/11,” tiré de son livre, Reason and Reenchantment: The Philosophical, Religious, and Political Thought of David Ray Griffin (2014).

David Ray Griffin est le cofondateur et modérateur du 9/11 Consensus Panel, avec Elizabeth Woodworth qui en assure la coordination.

L’essai de Tod Fletcher est disponible en ligne et fournit un excellent résumé du travail du Dr. Griffin, ainsi que du développement de la connaissance basée sur les éléments les plus probants au sein de la communauté des chercheurs sur le 11-Septembre.

Black Box ImageNEW YORK, 10 septembre 2014 – Alors que les disparitions d’avion continuent de faire les gros titres, de nouveaux éléments remettent en question le fait que certaines boites noires des avions du 11/9 n’ont jamais été retrouvées.

Des pompiers travaillant à Ground Zero en octobre 2001 affirment avoir retrouvé trois de ces quatre appareils pratiquement indestructibles. La localisation du signal (pinging) de l’un de ces enregistreurs de vol avait préalablement été annoncée par le directeur du Bureau de gestion des urgences de New York, et a été confirmée grâce à des détecteurs de fréquences radio.

Ces informations sont présentées par les 24 membres du 9/11 Consensus Panel, qui a utilisé une méthode de travail rigoureuse utilisée dans le domaine de la médecine pour sélectionner les éléments les plus probants. En trois ans, le Panel a élaboré au travers de son Comité de lecture, et publié, un total de 44 Points de Consensus réfutant la version officielle des événements du 11 septembre 2001.

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