Le 9/11 Consensus Panel est très attristé par le décès, le 25 avril 2023, de l’un de ses chercheurs les plus actifs, le Dr Graeme MacQueen, de Dundas, Ontario, Canada.

Graeme a contribué de manière attentive et consciencieuse au processus de révision des 51 points de consensus élaborés entre 2011 et 2018. Il manque beaucoup à ses collègues.

Vous trouverez ci-dessous une revue complète de ses contributions originales et remarquables à notre compréhension du 11 septembre, rédigée par Kevin Ryan, co-éditeur avec Graeme du Journal of 9/11 Studies :

En souvenir de Graeme MacQueen

Au cours de l’été 2006, le Journal of 9/11 Studies, qui venait d’être créé, a reçu un article d’un professeur canadien nommé Graeme MacQueen. L’article était intitulé “118 Witnesses : The Firefighter’s Testimony to Explosions in the Twin Towers” (118 témoins : le témoignage des pompiers sur les explosions dans les tours jumelles). Une fois les commentaires des pairs pris en compte, il a été publié et est devenu l’un des articles les plus importants de la littérature sur le 11 septembre.

Pendant les dix-sept années qui ont suivi, Graeme a dirigé le mouvement pour la vérité sur le 11 septembre grâce à sa remarquable érudition, à son approche réfléchie et à sa capacité à inspirer confiance à ses collègues. Outre sa remarquable intelligence et ses vastes capacités d’analyse, le dévouement de Graeme MacQueen à la paix et à la justice a fait de lui une force avec laquelle il fallait compter. Bien qu’il soit devenu le principal expert des témoignages liés au 11 septembre, y compris ceux des pompiers, des premiers intervenants et des médias, il a apporté beaucoup plus à la cause et ses contributions continueront d’éclairer la voie à suivre.

Nos intérêts communs pour la vérité sur le 11 septembre et le bouddhisme nous ont amenés à devenir de bons amis. Graeme était un érudit bouddhiste de renommée internationale, comme je l’ai appris en lisant des livres sur le sujet dans ma bibliothèque locale. Le texte d’une conférence qu’il a donnée à l’université du Michigan en 1988, qu’il m’a autorisé à publier sur mon blog des années plus tard, m’a aidé à comprendre en quoi il était différent des autres leaders bouddhistes. Il était le “bodhisattva sans sourire”, qui n’agissait pas seulement avec des mots – il mettait toute sa vie en jeu pour les êtres vivants.

En 2008, Graeme est arrivé à Bloomington, dans l’Indiana, pour donner une conférence avec le psychologue canadien Laurie Manwell au Buskirk-Chumley Theater, qui affichait complet.  Sa présentation, intitulée “The Fictional Basis for the War on Terror”, a été bien accueillie et nos discussions avec Laurie à Bloomington ont permis de planifier un événement de plus grande envergure qui devait avoir lieu à l’occasion du dixième anniversaire du 11 septembre 2001. Cet événement est devenu les auditions de Toronto, que nous avons organisées tous les trois avec Adnan Zuberi et James Gourley.

Graeme et moi avons ensuite collaboré à d’autres événements de sensibilisation, mais aussi au Journal of 9/11 Studies, où il a rédigé plusieurs autres articles novateurs, dont deux axés sur les preuves matérielles. Il s’agit de “The Missing Jolt : A Simple Refutation of the NIST-Bazant Collapse Hypothesis”, avec l’ingénieur Tony Szamboti, et “Did the Earth Shake Before the South Tower Hit the Ground ?” (La terre a-t-elle tremblé avant que la tour sud ne touche le sol ?).

Quelques années plus tard, Graeme est devenu mon co-rédacteur en chef du Journal, fonction qu’il a exercée pendant environ cinq ans. Le profond respect que les gens avaient pour l’érudition de Graeme et sa personnalité collaborative ont conduit à la soumission de nombreux et excellents articles sur divers sujets.  Grâce à son influence, nous avons reçu des articles du philosophe John McMurtry, du sociologue Edward Curtin, du politologue Peter Dale Scott et de l’avocat Stephen J. Looney, entre autres.

Graeme a été reconnu comme l’un des principaux experts du 11 septembre et, à cette époque, il a publié un ouvrage très influent, The 2001 Anthrax Deception : The Case for a Domestic Conspiracy. Ce livre établit, par une analyse minutieuse, que les attaques à l’anthrax étaient des crimes commis par un groupe de personnes associées à l’exécutif américain qui étaient liées ou identiques à celles qui ont commis les crimes du 11 septembre. Il a poursuivi ses recherches sur le 11 septembre en siégeant pendant sept ans au 9/11 Consensus Panel, dont la cofondatrice Elizabeth Woodworth a dit de lui qu’il était l’un des membres les plus productifs.

Ce qui est peut-être le plus remarquable chez Graeme, de mon point de vue, c’est qu’il a œuvré pour la paix et la justice jusqu’à sa mort. Comme David Ray Griffin, qui l’estimait beaucoup, Graeme a été assidu et très productif tout au long de la maladie qui l’a emporté. Il a écrit un autre livre, cette fois en format numérique gratuit, qui rassemble un grand nombre de ses écrits les plus convaincants. Il a réalisé des interviews pour un film à venir qui met en lumière son immense contribution et son engagement indéfectible en faveur de la paix. Enfin, il a participé à la création d’une nouvelle organisation qui mènera les recherches sur les crimes du 11 septembre pendant de nombreuses années.

Graeme MacQueen était un éminent chercheur et un être humain exceptionnel bien avant que je ne le rencontre. D’autres personnes qui en savent plus sur son passé évoqueront sans doute de nombreux aspects remarquables de sa vie. La fondation du Centre d’études sur la paix de l’université McMaster est souvent citée comme une réalisation représentative de sa nature. Je sais qu’il a écrit ou édité des livres sur la religion et la non-violence et qu’il a mené des initiatives de paix dans les zones de guerre d’Afghanistan, de Croatie, de Gaza et du Sri Lanka. Il était également un mari et un père dévoué et il parlait souvent de sa femme et de sa fille.

Graeme manquera beaucoup à tous ceux qui l’ont connu. Je lui serai à jamais reconnaissant pour son amitié et son leadership.

orig. publié le 26 avril 2023 sur digwithin.net/2023/04/26/remembering-graeme-macqueen

 

L’homme et son œuvre : Une synthèse

par Elizabeth Woodworth
1er décembre 2022

Le groupe de consensus sur le 11 septembre pleure la perte de son cofondateur, le Dr. David Ray Griffin.

David Ray Griffin

Quelle peut être la taille d’un esprit ?

Si nous avons de la chance, nous disposons de soixante-dix ans – dans un monde très vaste et plein d’histoire – pour vivre tout ce que nous pouvons absorber.

Trois cent dix ans, c’est loin d’être suffisant, mais certaines personnes extraordinaires parviennent à englober et à ordonner une grande partie de ces expériences.

Et d’autres personnes encore plus extraordinaires parviennent à s’élever au-dessus de leur propre vie pour interpréter la création et le tissu de l’univers comme ayant une signification cohérente à travers les cultures et à travers les âges.

David Ray Griffin a été professeur de philosophie de la religion et de théologie à la Claremont School of Theology et à la Claremont Graduate University, de 1973 à 2004. Avec son aîné, le Dr John Cobb Jr, il a cofondé le Center for Process Studies en 1973.

Griffin a déclaré que “la tâche d’un théologien est de regarder le monde à partir de ce que nous imaginerions être la perspective divine, une perspective qui se soucierait du bien de l’ensemble et aimerait toutes les parties”.

David n’était pas seulement un théologien exceptionnel et l’un des deux spécialistes vivants les plus connus de la théologie du processus d’Alfred North Whitehead (l’autre étant John Cobb) : Ses ouvrages couvrent également les domaines connexes du postmodernisme, de la théodicée (défense de Dieu contre le mal), de la vérité primordiale, du panenthéisme, du naturalisme scientifique, de la parapsychologie, de la pensée bouddhiste et de l’interaction entre le corps et l’esprit.

À peu près au moment où il a pris sa retraite en 2004, il a été approché par des personnes qui admiraient sa candeur, et qui lui ont signalé des preuves que l’événement du 11 septembre était hautement suspect.

Au début, David pensait que le 11 septembre n’était qu’un contrecoup de la façon dont l’Amérique avait traité le Moyen-Orient, mais en faisant des recherches plus approfondies, il s’est rendu compte qu’il y avait une très forte probabilité que les États-Unis aient organisé le 11 septembre comme une opération sous faux drapeau pour obtenir l’autorisation d’occuper l’Afghanistan et l’Irak pour capter leur pétrole.

Cette injustice l’a poussé à faire des recherches plus approfondies, puis à écrire une douzaine de livres savants sur le 11 septembre – des livres qui n’ont pas été reconnus par les médias, mais qui se sont livrés à un jeu du chat et de la souris avec les tenants de la version officielle du 11 septembre, qui ont continuellement adapté leur histoire pour dissimuler les faiblesses que David a repérées et révélées au fur et à mesure de l’évolution de leur récit, qui, du coup, est tombé en lambeaux.

Le premier et le plus célèbre de ces livres est The New Pearl Harbor : Disturbing Questions about the Bush Administration and 9/11 (Le nouveau Pearl Harbor : questions dérangeantes sur l’administration Bush et le 11 septembre), publié en mars 2004 par la maison d’édition très appréciée Interlink press. (et traduit en francais aux editions Demi-Lune)

Ce best-seller a été suivi en 2005 d’un démantèlement dévastateur de la Commission de blanchiment de l’administration Bush, intitulé The 9/11 Commission Report : Omissions and Distortions, qui expose 115 problèmes dans “le mensonge de 571 pages” (aussi traduit en francais aux memes edtions)

À la suite de ces premiers travaux sur le 11 septembre, David a été proposé pour le prix Nobel de la paix en 2008 et 2009, et a été nommé parmi les “50 personnes qui comptent aujourd’hui” par le New Statesman, le 24 septembre 2009.

En novembre 2008, le septième livre de David sur le 11 septembre, The New Pearl Harbour Revisited, a été l’un des 51 livres choisis cette année-là par Publishers Weekly (egalement traduit en francais)

La suite a été extraordinaire.

En tant que principal outil d’évaluation de livres en langue anglaise, le projecteur de Publishers Weekly aurait dû conduire à des critiques dans le New York Times, le Times Literary Supplement, Library Journal, et bien d’autres sources d’évaluation de premier plan – mais les médias contrôlés par la narration se sont donné le mot pour faire passer le livre inaperçu.

En 2011, David et moi avons fondé une organisation appelée 9/11 Consensus Panel, composée de plus de 20 professionnels experts dans divers aspects des attaques du 11 septembre. En 2018, les 51 points de consensus élaborés dans le cadre de ce projet unique d’examen fondé sur des preuves ont été publiés sous le titre 9/11 Unmasked : An International Review Panel Investigation (2018).

Au cours de ce projet de sept ans, David s’est penché sur la crise existentielle du changement climatique, rédigeant sa référence encyclopédique de 2015, Unprecedented : La civilisation peut-elle survivre à la crise du CO2 ? (J’ai apporté ce livre au sommet climatique COP21 de Paris en 2015, et je l’ai présenté là-bas, en le faisant suivre d’un documentaire YouTube sur cet énorme rassemblement de l’humanité [A Climate Revolution for All: COP21 – An Inside View – Ndt.] – la plus grande réunion depuis la Seconde Guerre mondiale).

David s’est ensuite intéressé à l’impérialisme américain – en écrivant Bush et Cheney : Comment ils ont ruiné l’Amérique et le monde en 2016, et en produisant l’incroyable travail d’érudition, The American Trajectory : Divine ou démoniaque, en 2018.

En 2019, David a enfin pu se consacrer à son projet de longue date, The Christian Gospel for Americans : Une théologie systématique. Il s’agit d’un opus magnum d’une ampleur et d’une profondeur énormes.

Il y aborde, par exemple, la question de la science par rapport à la religion, en montrant que certains scientifiques – d’anciens athées – ont été dépassés par l’ampleur des rapports extrêmement précis entre les éléments chimiques de la terre qui sont nécessaires à la vie, au point de dire maintenant que l’univers a été “finement accordé pour la vie”, reflétant ainsi un “fine-tuner” (ou créateur divin).

Les principes causaux de l’univers existent naturellement, étant inhérents à la nature des choses, parce qu’ils existent dans la nature même de Dieu.

Ce chapitre sur la nature infiniment fine de l’univers pour soutenir la vie est un cadeau transportant.

Mais il n’avait pas fini !

En mars 2023, l’éditeur Clarity Press publiera America on the Brink : How the US Trajectory Ledily Fatefully to the Russia-Ukraine War (L’Amérique au bord du gouffre : comment la trajectoire des États-Unis a conduit fatalement à la guerre entre la Russie et l’Ukraine), qui a été achevé au cours des derniers jours de sa vie.

Au total, David Ray Griffin a écrit 50 livres et plus de 200 essais. (On lui a un jour demandé s’il avait déjà eu une pensée non publiée !)

Dans tous ses livres – et plus particulièrement ceux sur l’impérialisme américain – il a lu et cité des études récentes menées par les meilleures presses universitaires, annulant ainsi la propagande qui s’est transmise au fil des ans.

Paul Craig Roberts a écrit : “David a servi la vérité à fond. C’est un héros de notre temps”.

Il ne fait aucun doute que l’ensemble de son œuvre restera dans l’histoire comme l’une des pensées les plus élégantes dont notre siècle ait été témoin.

Et à un moment donné, sa chronique des vérités historiquement étouffées doit émerger au grand jour, pour permettre à la civilisation fondée sur la réalité de progresser.

Gardons son œuvre en vie, afin que les futurs peuples de la Terre héritent du large éventail de sagesse qu’il leur a légué : d’une théologie de bon sens pleine d’espoir aux révélations sur la propagande impérialiste et les opérations sous fausse bannière, en passant par l’ampleur de la crise climatique, l’évolution de notre perception de la nature du divin et la preuve que nos esprits survivront après la mort.

David Griffin fait partie des plus grands, mais il était calme, plein d’humour, terre à terre et sans prétention.

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Le comité du Consensus 9/11 a perdu l’un de ses précieux membres, écrivain et journaliste Rowland Morgan.

Rowland MorganL’apport de Rowland à la société a été largement guidé par l’état d’esprit constant de thumos qui l’animait depuis toujours :

« Thumos représente notre volonté de nous battre, notre besoin de nous rebeller contre ce qui est intolérable. C’est ce qui nous fait nous lever et dire : “Je ne resterai pas silencieux”. C’est ce qui nous fait plonger tête baissée contre la dévastation du monde. »

 

Son esprit vif d’indignation contre l’injustice l’a conduit à écrire de manière prolifique, notamment deux livres publiés (et bien évalués) sur le 11 septembre :

Flight 93 Revealed: What Really Happened on the 9/11 Let’s Roll Flight?
par Rowland Morgan et Ian Henshall, Robinson Publishing, 2006

9/11 Revealed: The Unanswered Questions,
par Rowland Morgan et Ian Henshall, Carrol & Graf, 2005

Deux nécrologies publiées dans les médias (The Guardian et The Vancouver Sun) témoignent de sa vie productive, ainsi que de l’amour et de l’estime que lui portaient sa famille et ses amis :

www.theguardian.com/media/2021/may/12/rowland-morgan-obituary

vancouversunandprovince.remembering.ca/obituary/rowland-morgan-1082366418

J’ai été présenté à Rowland pour la première fois par David Griffin, lorsque celui-ci est venu parler à Vancouver en mai 2007. C’est ainsi qu’est née mon heureuse amitié avec Rowland et sa famille, qui vivent à proximité sur l’île de Vancouver, au Canada. Le décès de Rowland est une grande perte pour nous tous.

Elizabeth Woodworth
Co-fondatrice avec David Ray Griffin du 9/11 Consensus Panel.

 

The 9/11 Consensus Panel mourns the loss of the great Italian journalist, Giulietto Chiesa, whose life was devoted to upholding the foundations of democracy, not just in his native Italy, but in Russia and worldwide.

The Consensus Panel was honoured to have Giulietto as a voluntary reviewing member of its evidence-based 9/11 research – from 2011 until its findings were published in 2018.

Giulietto ChiesaIn 1999-2000 Chiesa had founded the association Megachip – Democracy in Communications, which presents critical analysis of how the mainstream media actually works. By April 2009 its website had over 60 million hits, and by 2010 it had reached 100 million. On the website appeared the words:

A whisper was enough to create a wave.
A simple whisper,
Nothing compared to the incessant noise of the thousand media that surround us.
Yet it was enough.

 

From Megachip sprang the 2008 documentary Zero: An Investigation Into 9/11, which challenged many assumptions surrounding the 9/11 attacks. Featuring such luminaries as Gore Vidal and Nobel Prize winner Dario Fo, it has been seen by millions of people. The Italian daily newspaper, Il Corriere de da Sera described the “sequence of contradictions, gaps, and omissions of stunning gravity” that it exposed in the official story.

In 2003, just before the American invasion of Iraq, he promoted – together with a large group of volunteering journalists – the experimental independent satellite TV project, NoWar TV.

From the late 1990s onwards Chiesa had covered issues related to globalization, in particular how they affect the world media system. This led to his involvement in the foundation of the global think tank, the World Political Forum, based in Turin and chaired by Mikhail Gorbachev. In 2010 Gorbachev founded the New Policy Forum in Luxemburg, placing Chiesa on the Advisory Board.

Chiesa also served for 19 years as a Moscow correspondent, was a former member of the European Parliament, and was a Fellow of the Kennan Institute for Advanced Russian Studies.
He was the Chief Editor of the web TV, Pandora TV. His blog Il Fatto Quotidiano was among the top ten political blogs in Italy. He was deeply mourned and honoured at Megachip.

Giulietto Chiesa was clearly a diverse man whose immense energy and compassion drove a lifelong quest for democracy. In the words of 9/11 Consensus Panelist Dr. Graeme MacQueen, co-founder of the Centre for Peace Studies at McMaster University, “I found him to be extremely kind and generous … it was a great honour to have known him; we have lost a brave companion. What a loss.”

 

 

Le colonel Shelton F. Lankford a servi comme Marine US pendant 20 ans, en tant que pilote naval avec plus de 10.000 heures de vol, et était un vétéran du Vietnam avec plus de 300 missions de combat.

Il est également signataire d’une pétition demandant une nouvelle enquête sur les évènements du 11/9, et un membre des Officiers et militaires pour la vérité sur le 11/9.

Dans une lettre de 2010 expédiée a son journal local, à Salisbury, Lankford écrivait :

“Mon deuil pour la nation dans laquelle je vis est réel et très concret. A partir des crimes irrésolus du 11 septembre 2001, j’ai vu notre république plonger dans les ténèbres, du fait que nous avons utilisé le mensonge du 11/9 pour justifier des agressions à l’étranger et la répression chez nous.
Les plus hauts responsables ne doivent plus rendre de compte pour des crimes aussi importants.”

Shelton Lankford

En septembre 2010, les cofondateurs du site consensus panel, David Ray Griffin et Elizabeth Woodworth ont lancé une conférence de presse simultanée pour annoncer la création des associations Acteurs et artistes pour la vérité sur le 11/9, Officiers militaires pour la vérité sur le 11/9, and Scientifiques pour la vérité sur le 11/9. Le 9 septembre, M. Lankford a représenté les Officiers emilitaires pour l’annonce durant la conférence de presse à New York.

En 2011, de nouveau sur l’invitation de Griffin et Woodworth, Lankford a rejoint le 9/11 Consensus panel et s’est soumis au protocole rigide par lequel ses 20 membres travaillent à l’insu les uns des autres. Ses 3 participations à l’analyse des 18 premiers points de consensus ont permis au Comité d’atteindre plus de 90% de consensus.

En avril 2012, suite à une discussion interne sur les preuves relatives au Pentagone, Lankford s’est laissé convaincre de démissionner du Comité, une décision pour laquelle il a par la suite exprimé des regrets lors d’une conversation avec les cofondateurs en avril. Il a demandé que sa déclaration pleine de lucidité reste sur les pages du site du 911 Consensus panel.

“Le 11 septembre 2001 semble destiné à être à la fois le moment décisif de notre vie, et la principale épreuve pour notre démocratie de notre vivant. Les preuves de la complicité du gouvernement US pendant la période précédant les attentats, l’échec à y faire face durant les événements, et l’absence stupéfiante d’une véritable enquête après-coup, tout cela associé à la mise à l’écart systématique de tous les éléments de preuve découverts par certains et qui contredisent, voire annulent les explications officielles, tout cela pourrait bien signifier la fin de l’ ‘expérience américaine’. Le 11/9 fut exploité pour justifier toutes sortes de mesures destinées à légaliser la répression dans notre pays, et comme prétexte pour la mise en place d’une politique impérialiste dans le monde entier. Tant que nous n’exigerons pas une enquête honnête, indépendante et exhaustive, tant que nous ne mettrons pas devant leurs responsabilités ceux dont l’ action ou l’inaction ont permis à ces attentats et à l’opération de dissimulation ultérieure d’avoir lieu, notre République et notre Constitution seront gravement menacées.”

Col. Shelton F. Lankford, US Marine Corps (retraité)

Repose en paix, Shelton Lankford. Le monde est plus pauvre sans toi.

David Ray Griffin
Elizabeth Woodworth

 

 

Mazzucco commence sa nouvelle vidéo “QUIZ SUR LE 11 SEPTEMBRE” (@IMDb), [1] par un résumé de la version officielle, si souvent évoquée : “19 terroristes islamiques, armés de coupe-papiers, ont détourné quatre avions américains, en envoyant deux s’écraser contre les Tours Jumelles et un contre le Pentagone, tandis que les passagers du quatrième avion le faisaint s’écraser en pleine campagne près de Shanksville en Pennsylvanie. Suite aux impacts et aux incendies qui s’ensuivent, les deux Tours Jumelles s’écroulent, causant la mort de presque 3000 personnes. Ceci est, dans les grandes lignes, la version officielle des faits que nous resservent tous les ans pratiquement tous les médias du monde.”

Massimo Mazzucco, 2019Il demande ensuite : “Que savez-vous exactement sur les faits du 11 Septembre ? Attention je ne parle ici de théorie du complot. Je suis en train de parler simplement de faits prouvés, documentés et vérifiables par quiconque, mais qui ont disparu d’une manière ou d’une autre dans le grand minestrone de la narration officielle du 11 septembre.

Ensuite, nous est proposé un questionnaire à choix multiple de 23 questions sur ce qui s’est réellement passé le 11/9. Les réponses correctes, accompagnées d’éléments de preuve, nous sont présentées tout au long de cette vidéo de 37 minutes.

Par exemple, question 9 : “Combien parmi les policiers, les pompiers ou les secouristes ont témoigné dans le New York Times avoir entendu des explosions avant et pendant les effondrements des Tours Jumelles ? Aucun ? Un seul ? Environ une douzaine ? Plus de 100 ?

La réponse à cette question n’a jamais été mentionnée dans les grands médias.

A la fin, Mazzucco résume ainsi :

Si vous avez totalisé moins de 10 bonnes réponses, alors malheureusement vous êtes ignorants sur le sujet. Ou plutôt, vous êtes victime de la propagande mainstream, celle qui nous raconte tous les ans la fable des 19 pirates de l’air armés de coupe-papier, et des gratte-ciel en acier qui s’écroulent à cause d’incendies.

A ce stade, décidez vous-mêmes combien il est vraiment important, pour chacun de vous, de connaitre à fond les faits du 11 Septembre … Il est toujours temps d’instruire les gens moins bien informés que nous, puisque les journalistes refusent manifestement de faire leur travail.

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Source: The 9/11 Consensus Panel   @consensus911
E-mail: consensus911@gmail.com

 

Un manuscrit non publié enquêtant sur les présumés appels téléphoniques passés depuis les avions du 11 Septembre vient d’être rendu public récemment par le célèbre écrivain britannique et membre du 9/11 Consensus Panel, Rowland Morgan.

Rowland Morgan, 2019Morgan, un ancien chroniqueur des journaux londoniens The Guardian et The Independent, a entrepris une enquête en profondeur sur les appels téléphoniques du 11/9 dans son extraordinaire manuscrit, Voices, qu’il a menée de 2008 à 2010. (Il a aussi été coauteur, avec Ian Hennshall, de Flight 93 Revealed, aux Editions Carroll and Graf, 2006.)

Voices mentionne notamment un rapport d’Associated Press de 2006, disant qu’ “une grande partie des choses que l’on sait sur ce qui s’est passé à bord du vol 93 sont connues parce que les passagers ont appelé en vol leurs proches à l’aide de leur téléphones portables.”

Pourtant, les données téléphoniques du gouvernement américain lui-même, présentées lors du procès Moussaoui en 2006, montrent que le procureur du procès Moussaoui, David Raskin “n’avait pas étudié ses propres preuves, qui établissaient que seuls 2 des 35 appels soi-disant passés depuis le vol 93 avaient bien eu lieu.”

Morgan poursuit ainsi ses révélations :

“Les données téléphoniques contenaient d’autres informations explosives dont les juges de Moussaoui n’avaient apparemment pas connaissance :

  • Le fameux appel téléphonique de la présentatrice télé Barbara Olson à son mari le 11/9, Théodore Olson, qui se trouvait alors à son bureau du ministère de la Justice, n’a jamais eu lieu. Les données téléphoniques du gouvernement américain indiquent qu’elle a effectivement appelé, mais que son appel n’a jamais abouti. Cela signifie que le procureur général US, un membre-clef de l’administration Bush, a consenti, ou participé, à une escroquerie capitale, consistant à placer des « pirates de l’air » armés de « coupe-papier » à bord du vol 77 qui fonçait ostensiblement vers le Pentagone.
  • Le fameux appel du 11/9, passé depuis un téléphone de bord par Todd Beamer, celui dans lequel un opérateur d’Airfone l’a entendu lancer le cri de ralliement « Let’s roll », n’a jamais existé. Les données visiblement manipulées et publiées par le gouvernement US voudraient que Beamer ait passé plusieurs appels dans la même seconde.

Etant donné que la présence des pirates de l’air à bord des avions détournés repose en partie sur eux, l’inexistence de ces 2 appels téléphoniques cruciaux suffisent à mettre à mal la théorie du complot gouvernementale américaine sur le 11/9.”

Le manuscrit complet de la brillante étude de Morgan sur les appels téléphoniques présumés du 11/9, Voices, est disponible sur le site Web du 9/11 Consensus panel.

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Source: The 9/11 Consensus Panel @consensus911
E-mail: consensus911@gmail.com

 

In the fullness of time, much key evidence concerning the 9/11 attacks has disappeared from the Internet and even retroactively from the Wayback Machine, which respects requests from websites to block their materials.

In an effort to preserve important evidence that is not easily available on the Internet, the 9/11 Consensus Panel is now offering a home for selected evidence that is of value to researchers who are investigating the events of that world-changing day.

The group of links restored to the Internet today include nine interviews with senior political and military figures on the first anniversary of the 9/11 attacks, September 11, 2002:

Andrew Card, Karen Hughes, Norman Mineta, Robert Mueller, General Richard Myers, Colin Powell, Condoleezza Rice, Karl Rove, and Donald Rumsfeld.

These people were all involved in the response that day.

Please Note: If any persons in the 9/11 research community are looking for a place to post other important links that are no longer available on the Internet AND on the Wayback Machine, the Consensus Panel will consider including them on this website. We may be contacted at consensus911@gmail.com.

 

 

The 9/11 Consensus Panel mourns the loss of one of its most respected Honorary Panel Members, Ferdinando Imposimato, Honorary President of the Supreme Court of Italy, former Senator and presidential candidate (2015), and Grand Officer of the Order of Merit of the Italian Republic, who died in Rome on December 31, 2017.

Ferdinando Imposimato, 2016Dedicated to the fight against corruption, he became one of Italy’s most respected judges. He served on the Anti-Mafia Commission in three administrations and for over two decades investigated many important cases, among these the kidnapping of former PM Aldo Moro and the assassination attempt on Pope John Paul II.

Besides contributing numerous articles to other publications, he authored several books dealing with international terrorism, and not only participated in the “9/11 Toronto Hearings” (2011) but contributed a chapter to the “9/11 Toronto Report.”

Judge Imposimato became involved in 9/11 matters soon after the attacks, assisting in counseling families of victims from Italy. He then became an outspoken critic of the official 9/11 story, and in a 2012 letter to “The Journal of 9/11 Studies” stated that


“The 9/11 attacks were a global state terror operation permitted by the administration of the USA, which had foreknowledge of the operation yet remained intentionally unresponsive in order to make war against Afghanistan and Iraq [and] the 9/11 events were an instance of the strategy of tension enacted by political and economic powers in the USA to seek advantages for the oil and arms industries.”

He repeatedly suggested that the only possibility for achieving justice is to submit the case to the Prosecutor of the International Criminal Court.

The Consensus Panel – and many more – will miss this rare promoter of justice and truth. We are dedicated to carrying on his quest for justice for the thousands of victims of the attacks themselves, and the millions of the resulting global war on terror.

 
By Petra Liverani
Off-Guardian, February 27, 2018

Ifind it such an interesting phenomenon that of all the self-styled skeptics I have corresponded with or whose opinions are aired online, every single one swallows the miracles, told to us by NIST, of the three high rise steel frame building collapses on 9/11 being caused by fire when the evidence clearly shows that the collapses were caused by controlled demolition. Moreover, the $5,000 10-point Occam’s Razor challenge on the cause of collapse of the third building, WTC-7, that I’ve issued personally to a significant number of these self-styled skeptics, has been very loudly ignored.

As Australian politician, Pauline Hanson, infamously said when asked if she were xenophobic, “Please explain”.

Please explain why it is that the most prolific scholar – by far – on 9/11 is a Christian and Professor Emeritus of Religious Studies, David Ray Griffin, and why this scholar, highly-esteemed within and without his own academic field, does not swallow the collapse-by-fire miracles? He has written over 10 books on the subject of 9/11, his latest being Bush and Cheney: How They Ruined America and the World. He has also recently authored and co-authored two books on climate change. So he’s on the same page as most of the self-styled skeptics (in no way referring to the so-called climate skeptics, of course) with climate change but not with 9/11.

As summarised by Edward Curtin in his review of Griffin’s book, here are the 15 miracles that Griffin identified that the self-styled skeptics have swallowed:

  1. The Twin Towers and WTC 7 were the only steel-framed high-rise buildings ever to come down without explosives or incendiaries.

  2. The Twin Towers, each of which had 287 steel columns, were brought down solely by a combination of airplane strikes and jet-fuel fires.

  3. WTC 7 was not even hit by a plane, so it was the first steel-framed high-rise to be brought down solely by ordinary building fires.

  4. These World Trade Center buildings also came down in free fall – the Twin Towers in virtual free fall, WTC 7 in absolute free fall – for over two seconds.

  5. Although the collapses of the of the WTC buildings were not aided by explosives, the collapses imitated the kinds of implosions that can be induced only by demolition companies.

  6. In the case of WTC 7, the structure came down symmetrically (straight down, with an almost perfectly horizontal roofline), which meant that all 82 of the steel support columns had to fall simultaneously, although the building’s fires had a very asymmetrical pattern.

  7. The South Tower’s upper 30-floor block changed its angular momentum in midair.

  8. This 30 floor block then disintegrated in midair.

  9. With regard to the North Tower, some of its steel columns were ejected out horizontally for at least 500 feet.

  10. The fires in the debris from the WTC buildings could not be extinguished for many months.

  11. Although the WTC fires, based on ordinary building fires, could not have produced temperatures above 1,800°, the fires inexplicably melted metals with much higher melting points, such as iron (2,800°) and even molybdenum (4,753°).

  12. Some of the steel in the debris had been sulfidized, resulting in Swiss-cheese-appearing steel, even though ordinary building fires could not have resulted in the sulfidation.

  13. As a passenger on AA Flight 77, Barbara Olson called her husband, telling him about hijackers on her plane, even though this plane had no onboard phones and its altitude was too high for a cell phone call to get through.

  14. Hijacker pilot Hani Hanjour could not possibly have flown the trajectory of AA 77 to strike Wedge 1 of the Pentagon, and yet he did.

  15. Besides going through an unbelievable personal transformation, ringleader Mohamed Atta also underwent an impossible physical transformation.

Now could it be that self-styled skeptics all over the Anglo world (Michael Shermer, Richard Dawkins and Richard Saunders being notable examples) are suffering from a severe case of skeptic groupthink? You’d think one of them would deviate from the flock in their concept of truth, wouldn’t you?

An example of the faulty reasoning used by skeptics is displayed by Michael Shermer in this interview where he employs a common logical fallacy of 9/11 argument, argumentum ad speculum, by putting forward the seemingly great implausibility of the conspirators’ ability to lay explosives in the twin towers.

This hypothesis ignores the reality of how the buildings collapsed and also displays ignorance of information indicating how the task of laying explosives could have been achieved, as in Jeremy Rys’s 45 minute film, Conspiracy Solved!

There is much study in social psychology on why people believe things and what approaches to take to help them out of their entrenched beliefs (see presentation In Denial of Democracy: Social Psychological Implications for Public Discourse on State Crimes Against Democracy Post-9/11, by neuroscientist, Laurie Manwell) but it truly baffles me that when you ask a self-styled skeptic to provide even just a single point to justify their belief and they fail, this stark confrontation with their inability to support their belief has no impact.

It truly astounds me. I’m not talking here about aggressive confrontation, in which case one can comprehend a psychological resistance. I’m talking about asking someone, with pretensions to operate in a realm of reason and logic, simply to provide support for their belief.

Occam’s Razor is a tool of logic that can be applied in different ways. In my appplication I take the approach: what hypothesis fits the piece of evidence in question with the fewest questions and assumptions. It works like magic. If a self-styled skeptic cannot use the tool to support their belief nor poke a hole in the points provided for the opposing view, surely reason and logic dictate that the skeptic must change their mind. If not, their claim to skepticism is utterly fraudulent.

Interestingly, Griffin divides the world into three types of people:

  • Those guided by evidence,

  • Those guided by their paradigms of how the world is thus if 9/11 being a false flag does not fit into their paradigms of how the world works they simply will not consider the evidence,

  • Those guided by wishful-and-fearful thinking thus if the idea of their own government perpetrating an horrific crime on their own people is too awful to bear they simply will not believe the evidence.

Shouldn’t self-styled skeptics, by definition, be of the first type? Apparently, not a one is. They seem to be all of the second type or possibly third.

The Australian Skeptics association defines skepticism as follows:

Skepticism is a dynamic attitude to the world around us. It is not a dogmatic approach restricted by “accepted wisdom”, but a serious and sincere appraisal of claims of how the world works.

In response to my perfectly-reasoned emails, however, a leading Australian skeptic, (we’ll call him “R”), simply dismissed me, without evidence or debate, as a “conspiracy theorist.” Sadly, in his discourteous emails, “R” displays the opposite of genuine skepticism. He displays, only, that he could not be more indoctrinated by the most successful propaganda weapon of all time, the “conspiracy theory,” meme promulgated by the CIA after the JFK assassination to silence and discredit those who questioned the lone gunman explanation.

From an article in the Observer about NYU Professor of Media Studies, Mark Crispin Miller:

The outspoken voice of public dissent considers [the term “conspiracy theory”] a “meme” used to “discredit people engaged in really necessary kinds of investigation and inquiry.”

For Miller, those investigations include, among others: did the U.S. government have foreknowledge of the 9/11 terror attacks and choose to do nothing? Were Bush, Cheney, Rumsfeld and others surreptitiously trying to dismantle the republic envisioned by the founding fathers? And is the CDC concealing links between the MMR vaccine and autism?

It’s one that you run into time and time again,” Miller said on an October 11 episode of CounterPunch Radio. “To the point that I now believe that anyone who uses that phrase in a pejorative sense is a witting or unwitting CIA asset.” [My emphasis.]

What sort of world do we live in when so many self-styled skeptics can watch the 6.5 second, beautifully symmetrical collapse of WTC-7 into its own footprint and accept the government report stating that it was caused by fire?


WTC7 collapsing
the collapse of WTC7 now acknowledged by NIST to be at free-fall

Unincinerated terrorist passport fluttering to the ground at the World Trade Centre and being handed in by anonymous passerby? BBC journalist stating that WTC-7 collapsed 20 minutes before it did? Owner of WTC-7, Larry Silverstein, speaking of how he suggested that perhaps the smartest thing to do was to “pull it” (term used originally for demolition by pulling a building down but now also used for controlled demolition using explosives)?

Do none of these puzzles excite even the barest curiosity in these so-called seekers after truth?

 

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New York, December 16, 2017 – The co-founders of the 9/11 Consensus Panel, authors Dr. David Ray Griffin and Elizabeth Woodworth, today release the following statement regarding disputed evidence within the 9/11 research community.


Addressing Controversy Within the 9/11 Truth Community:

A Statement of Constructive Principles

Serious students of 9/11 tend to agree that the official story raises too many problems to hold together as a credible account.

However and unfortunately, there are areas of disagreement, especially with regard to the Pentagon, that threaten to undermine good will and mutual trust.

As co-founders of the 9/11 Consensus Panel, we offer the following observations and principles for consideration:

  1. At the four alleged airliner crash sites, odd phenomena and anomalies continue to cause speculation and disagreement. Some scholars can justifiably take one set of data as most important, while playing down the importance of another set, while other scholars can justifiably take the second set of data as most important.
  2. These differences of opinion can be justifiable until there is a theory that can take account of all the indisputable evidence.
  3. Based on an understanding that there are valid reasons for disagreement, the 9/11 research community can best be unified by respect and tolerance for contrary theories.
  4. Contributions seeking to solve contentious issues can only be made by assembling reliable evidence and by applying critical thinking and peer review according to the standard scientific process. This is the strength of science and the way it has progressed over centuries.
  5. In conclusion, we offer the “agree to differ” approach: to end an argument amicably while maintaining differences of opinion until there is an explanation that does justice to all the various types of evidence.

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New York, December 7, 2017 – The 9/11 Consensus Panel was impressed by the imagination and resourcefulness of a new 4-minute video song created by Architects and Engineers for 9/11 Truth.

The song was inspired by 9/11 Consensus Panel co-founder David Ray Griffin’s recent book, “Bush and Cheney: How They Ruined America and the World,” (Interlink, 2017).

The song, a take-off on “I believe in Miracles,” is titled, “I believe in 9/11 Miracles.” Its sometimes hilarious content reflects and illustrates Griffin’s statement:

“If journalists continue to endorse the official account of the destruction of the World Trade Center, they should begin their articles by saying: ‘I believe in miracles—lots of them.’”

This snappy little song has been picked up the The Centre for Research on Globalization and may be heard here.

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NEW YORK, 8 septembre 2017 – À l’approche du 16e anniversaire du 11 septembre 2001, et la guerre mondiale contre le terrorisme ne faiblissant pas, le comité du Consensus911 reste, depuis sept ans, engagé dans la mise à disposition d’éléments de preuve basés sur des recherches, pour toute enquête qu’entreprendrait soit le public, soit les médias, soit un institut, soit toute institution ou organisme d’enquête.

Le Comité, qui comprend 23 membres, a publié cette année deux nouveaux points de consensus, en utilisant le modèle d’examen de « l’élément le plus probant » pour analyser les déclarations officielles à propos du 11 septembre. (Le Comité a maintenant examiné 50 déclarations officielles et a trouvé dans chacune d’entre elles un récit en grande partie imparfait.)

Le premier point, « The Claim that the Hijackers Were Devout Muslims [L’affirmation selon laquelle les pirates de l’air étaient de fervents musulmans] », reprend de nombreux reportages de médias selon lesquels les pirates pratiquaient « certains plaisirs clairement interdits à des musulmans », comme dans des boîtes de lap dance dans des clubs de nuit de Las Vegas.

Le second point de consensus de 2017, « The Claim that Mohamed Atta Had Become a Fanatically Religious Muslim [L’affirmation selon laquelle Mohamed Atta était devenu un musulman fanatique] », étudie la question posée par un journaliste à Richard Ben-Veniste, membre de la commission du 11 septembre : “Si Atta appartenait au groupe des Musulmans fondamentalistes, pourquoi prenait-il de la cocaïne et fréquentait-il des bars à strip-tease ?” À quoi Ben-Veniste a répondu : “Vous savez, c’est une sacrée question.” Mais c’est une question que la commission du 11 septembre n’a jamais posée.

Ces deux points s’ajoutent à bien d’autres éléments de preuve indiquant que le 11 septembre, qui sera exploité pour justifier le programme impérialiste américain au Moyen-Orient, fut une tromperie sur toute la ligne : le World Trade Center, le Pentagone, les pirates de l’air, les pirates, les appels téléphoniques depuis les avions, les fausses de vidéos de sécurité et les incertitudes quant aux commandements politiques et militaires.

Le Dr Niels Harrit, membre du Comité et professeur émérite de chimie de l’université de Copenhague, a publié plus de 60 articles évalués par des pairs dans des revues de chimie de premier plan et fait plus de 300 présentations sur les démolitions du WTC au Danemark, en Suède, en Norvège, en Allemagne, en Hollande, en France, en Suisse, en Espagne, au Royaume-Uni, au Canada, aux États-Unis, en Chine, en Australie, en Russie et en Islande.

Frances Shure, psychologue spécialisée conseillère du Comité, a été interviewée par Progressive Spirit en août 2017 à propos de l’extraordinaire déni qui continue d’entourer les événements du 11 septembre. Le titre de son interview est « Why Do Good People Become Silent – Or Worse – About 9/11? [Pourquoi des gens bien intentionnés sont-ils devenus silencieux – ou pire – à propos du 11 septembre ?] »

Le Dr Graeme MacQueen, professeur émérite d’études sur la paix à l’université McMaster, a publié récemment un article selon un angle entièrement nouveau, “9/11: The Pentagon’s B-Movie [11 septembre : le Pentagone, une série B]”, qui réveille notre sentiment de la nature horrible mais encore cachée de cette tromperie du monde-qui-change.

Deux autres membres du Comité, le professeur de physique David Chandler et l’ingénieur Jonathan Cole, tiennent un site Internet séparé, où est documentée leur recherche indépendante. Celle-ci est aussi affiliée à Architects and Engineers for 9/11 Truth [Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11 septembre], qui comprend 2900 membres, et à Scientists for 9/11 Truth [Scientifiques pour la vérité sur le 11 septembre].

Dr David Ray Griffin, cofondateur du Comité, a récemment publié son 11e livre d’érudition sur le 11 septembre, Bush and Cheney: How They Ruined America and the World [Bush et Cheney: comment ils ont ruiné l’Amérique et le monde], L’interview de David d’août 2017 avec John Shuck peut être écouté ici.

Le Comité veut remercier son excellente équipe de traducteurs volontaires qui continuent, par la diffusion dans d’autres langues, à rendre la meilleure recherche sur les éléments de preuve du 11 septembre de plus en plus disponible.

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NEW YORK, 10 septembre 2016 – Le réalisateur italien Massimo Mazzucco, membre du Comité du Consensus911, vient de diffuser une excellente version courte de son documentaire-choc sorti en 2013, 11-Septembre : Le nouveau Pearl Harbor.

MM's New Pearl HarborMazzucco explique : “Le film original traite de toute l’histoire du débat sur le 11/9, vu depuis les deux camps – celui du Mouvement pour la vérité sur le 11/9, et celui des débunkers du monde entier. Ce résumé se veut une introduction au film complet, et non un film autosuffisant sur ce sujet.”

Pour donner une idée de la qualité du film original, nous reprenons ici une partie de sa recension par le Dr. David Ray Griffin, cofondateur du 9/11 Consensus Panel.

Il y avait déjà beaucoup d’excellents films et vidéos sur le 11-Septembre. Mais le dernier documentaire du réalisateur plusieurs fois primé, Massimo Mazzucco, est clairement au-dessus du lot.

Pour tous ceux qui ont travaillé sur le sujet du 11-Septembre toutes ces années, voilà le film que nous attendions.Nous avions déjà de très bons films traitant du caractère fallacieux de telle ou telle partie du récit officiel, les Tours Jumelles, le Bâtiment 7, etc., mais Mazzucco nous propose ici un documentaire complet qui englobe virtuellement l’ensemble des problèmes liés aux faits du 11-Septembre.La volonté de Mazzucco d’englober la totalité de la problématique l’a amené à produire un film d’une durée de près de 5 heures, qui est cependant si fascinant et trépidant que beaucoup voudront le regarder en une seule fois. Mais ce n’est pas obligatoire, car ce documentaire, en 3 DVD, comporte 7 parties, chacune étant divisée en de nombreux chapitres de courte durée. Ces 7 parties concernent la Défense aérienne, les pirates de l’air, les avions, le Pentagone, le Vol 93, les Tours Jumelles et le Bâtiment 7. Dans chacune d’elles, après avoir présenté les faits qui contredisent le récit officiel, Mazzucco traite chacune des affirmations des debunkers (c’est-à-dire ceux qui cherchent à invalider les éléments et les preuves avancées par la communauté de chercheurs sur le 11/9).

L’introduction, comme l’indique le titre du film, établit 12 parallèles étonnants entre Pearl Harbor et les attentats du 11-Septembre.

Ce film s’adresse aussi bien à ceux qui ne connaissent pas le sujet du 11-Septembre (au-delà de la version officielle), qu’à ceux qui possèdent une connaissance partielle des différents problèmes que pose la version officielle, et aussi aux experts du sujet (j’ai moi-même appris beaucoup de choses).

Mazzucco souligne bien le fait que son documentaire couvre les 12 années de débat sur le 11/9. Et tous ceux qui ont contribué à rechercher la vérité sur le 11/9 pendant ces longues années verront que leur travail est finalement récompensé : nous avons à présent un film extrêmement bien documenté qui montre de façon éclatante combien le récit officiel sur le 11-Septembre a été fabriqué de toutes pièces.

 

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New York, 8 sept. 2016 – A l’approche du 15e anniversaire des attentats du 11/9, et avec ces guerres et ce terrorisme post-11-septembre toujours plus intenses, le Comité du Consensus911 est plus que jamais engagé à “fournir une source fiable d’informations à même d’être utilisée pour toute enquête qui pourrait être menée par le public, les médias, le milieu académique, ou toute autre institution ou entité d’investigation.”

Cette année, les 23 membres du Comité ont publié deux nouveaux Points de consensus, en utilisant le modèle de validation basé sur “les éléments les plus probants” très utilisé dans le milieu médical.

NYT: Tale of the TapeLe premier Point, “Comparaison entre les affirmations d’incendies infernaux dans la Tour Sud et les transcriptions radio des pompiers de New York” dément catégoriquement la version officielle selon laquelle les étages situés dans la zone frappée par l’avion étaient en proie à un “brasier infernal,” qui aurait soi-disant causé la fonte de l’acier et provoqué l’effondrement de la tour.

Le second Point de consensus publié cette année concerne l’omission totale, dans la narrative officielle, des témoignages de deux hauts responsables de la ville de New York qui ont rapporté avoir survécu à une énorme explosion à l’intérieur du World Trade Center 7 (WTC 7) le matin du 11-Septembre, et être restés coincés dans la cage d’escalier pendant 90 minutes.
Ces deux Points de consensus viennent s’ajouter aux déjà très nombreuses preuves selon lesquelles le 11/9, utilisé pour promouvoir le “choc des civilisations” avec le monde musulman, n’est rien d’autre qu’une vaste escroquerie qui comprend : Le Word Trade Center, le Pentagone, les pirates de l’air, les appels téléphoniques depuis les avions, les fausses images vidéos de sécurité, et les errements des commandements militaires et politiques ce jour-là.
Une fois qu’ils ont compris la stratégie impérialiste derrière le 11/9, nombreux sont ceux et celles, y compris dans le monde académique, qui trouvent impossible de continuer à vivre dans cette matrice illusoire, et qui consacrent leur temps à informer les autres. C’est aussi dans ce but que certains membres du Comité du Consensus911 continunent de s’occuper des événements du 11/9.

Par exemple, le Dr. Niels Harrit, professeur émérite de Chimie à l’université de Copenhague, avait publié plus de 60 articles revus par des comités de lecture dans les plus importants journaux de Chimie, quand il a pris connaissance en 2007 de l’étrange effondrement du WTC 7. Il a, depuis cette date, donné plus de 300 présentations au sujet du WTC, dans des pays aussi variés que Danemark, Suède, Norvège, Allemagne, Hollande, France, Suisse, Espagne, Royaume-Uni, Canada, USA, Chine, Australie, Russie et Islande. En mai 2016, il a donné une conférence à Londres, et en août 2016, au World Social Forum à Montreal.

Frances Shure, une avocate professionnelle spécialisée en “psychologie profonde” a expliqué à la télévision publique du Colorado en août 2016, les principaux points de sa série révolutionnaire “Pourquoi des gens biens deviennent parfaitement silencieux – voire pire – au sujet du 11/9 ?”

Le Dr. Graeme MacQuenn, professeur émérite d’Études sur la Paix à l’Université McMaster, a publié une analyse de la psychose concernant les spores d’anthrax qui avait suivi le 11-Septembre, sous le titre The Anthrax Deception: The Case for a Domestic Conspiracy. Il a donné en 2016, plusieurs conférences sur le 11/9 à Montréal, San Francisco, et New York.

Deux autres membres du Comité, le physicien David Chandler, et l’ingénieur Jonathan Cole, tiennent un site Web, sur lequel ils publient les résultats de leurs recherches indépendantes, et qui est affilié à ceux des quelque 2600 Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 et à celui des Scientifiques pour la vérité sur le 11/9.

Le cofondateur du Comité, le Dr. David Ray Griffin, a écrit un 11e livre sur le 11/9, Bush and Cheney: How They Ruined America and the World [Bush et Cheney : Comment il ont ruiné l’Amérique et le monde entier], qui sera publié en novembre. Dans la 1ere partie du livre, il liste les nombreuses façons dont l’administration Bush-Cheney a affaibli la constitution US, et causé le chaos dans le grand Moyen-Orient, qui s’est déversé sur l’Europe. Dans la seconde partie, il explique que la version officielle du 11/9 ne peut en aucun cas être vraie, car elle fait appel à au moins 13 miracles – y compris des violations des lois de la Physique.

by E.W., Aug. 9 at WSF 2016Elizabeth Woodworth, l’autre cofondatrice du 9/11 Consensus Panel, a donné en août une présentation PowerPoint au World Social Forum de Montréal, évoquant le travail du Comité du Consensus911, et certains de ses éléments de preuve les moins connus – mais néanmoins surprenants. Une émission d’une heure y sera consacrée en septembre sur une chaine câblée de Colombie britannique.
Le Comité tient à remercier son équipe de traducteurs bénévoles, qui a permis de rendre accessible ce travail dans 6 langues différentes.

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Le 22 octobre – C’est avec une grande tristesse que le 9/11 Consensus Panel a appris la soudaine maladie et la disparition de l’un de ses membres honoraires les plus respectés, représentant du Labor au parlement britannique, Michael Meacher, qui était devenu membre honoraire du 9/11 Consensus Panel en septembre 2011.

M. Meacher est décédé le 21 octobre, à l’âge de 75 ans, après avoir été élu député de l’Oldham West et de Royton pendant 45 ans. C’était l’un des 36 parlementaires du Labor à avoir soutenu Jeremy Corbyn lors de sa candidature à la présidence du parti du Labor cette année.

La notice nécrologique de la BBC a fait part d’innombrables hommages rendus à cet homme respectable et connu pour son intégrité hors-norme.

M. Meacher avait ouvertement critiqué l’échec des États-Unis à empêcher la survenue [des attentats] du 11-Septembre, lesquels avaient – comme il le déclara au Guardian en septembre 2003 – « offert un prétexte extrêmement commode » pour justifier les actions militaires en Afghanistan et en Irak, lesquelles avaient clairement été planifiées avant le 11 septembre 2001.

Dans son premier livre sur le 11-Septembre, « Le Nouveau Pearl harbor », David Ray Griffin (confondateur du 9/11 Consensus Panel) avait consacré plusieurs pages à la controverse déclenchée par M. Meacher en 2003.

MM Griffin et Meacher s’étaient connus en 2005, lors d’un interview par une chaine télé, et entre deux prises de vue, avaient trouvé le temps pour « une brève, mais très amicale conversation. »

En mai 2005, M. Meacher avait présenté au parlement une proposition de loi sur le changement climatique, demandant à son gouvernement de s’engager à réduire de 3% les émissions de gaz CO2 chaque année.

Le 9/11 Consensus Panel exprime ses condoléances à toutes les personnes, en Grande-Bretagne et dans le monde, auxquelles manquera la contribution active, intelligente et constructive de cet homme d’État expérimenté.

 

Note de l’éditeur : Nous attirons l’attention de nos lecteurs sur cet article paru dans Op-Ed et écrit par le Dr John Wyndham (Docteur en Physique, université de Cambridge), coordinateur de l’association Scientists for 9/11 Truth. Cet article est paru dans le Keene Sentinel le 11 septembre 2015.

* * *

Les faucons va-t-en-guerre de la droite américaine veulent torpiller les accords entre le Président Obama et l’Iran, dans le seul but d’aller vers la guerre. Leur plan, qui consiste à s’approprier militairement le Moyen-Orient, est connu du public depuis des années maintenant. Et les accords entre Obama et l’Iran, soutenus par la Grande-Bretagne, la France, la Chine, la Russie et l’Allemagne, stopperaient net leur stratégie belliqueuse. Ces plans sont apparus pour la première fois en pleine lumière avec les attentats sous fausse bannière du 11 septembre 2001 (11/9), aussi appelés, « Le Nouveau Pearl Harbor », un scénario envisagé par les néoconservateurs eux-mêmes dans leur Think Tank « Project for a New American Century » (PNAC). Le public incrédule a mis longtemps avant de comprendre.

Le Général Wesley Clark, conseiller du président en 2004, a expliqué ces plans à Amy Goodman de Democracy Now le 2 mars 2007. Clark y raconte que quelques semaines après le 11/9, alors que les USA bombardaient l’Afghanistan, un général du Pentagone (non identifié) avec lequel il travaillait au sein du Commandement interarmes lui avait dit ceci : « Nous allons envahir sept pays en cinq ans, en commençant par l’Irak, la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et enfin l’Iran. »

Clark a compris que le pétrole était au centre des guerres au Moyen-Orient. Lors d’une interview en 2012 avec Mike Gray, le Général Clark a « souligné explicitement le rôle central du pétrole dans la stratégie militaire des USA » (Business Insider). D’autres personnalités connues ont pointé du doigt le pétrole comme étant la principale raison de la guerre en Irak, comme l’ancien président de la Réserve fédérale US, Allan Greenspan, l’ancien sénateur et ministre de la Défense, Chuck Hagel, ou encore le général John Abizaid, ex-chef du Commandemant Central US et des Opérations militaires en Irak.

Le but du PNAC était de « promouvoir la domination globale des USA », un objectif long et difficile à atteindre, « à moins d’un événement catastrophique et catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor. » Parmi les signataires du PNAC, on trouve Jeb Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld et Paul Wolfowitz. D’après Bob Woodward, reporter au Washington Post, le ministre de la Défense, Donald Rumsfeld « avait pour habitude de brandir et de recommander » le livre de Roberta Wohlstetter, paru en 1962 « Pearl Harbor : Warning and Decision », dans les mois précédant le 11-Septembre.

Alors que l’attaque contre le Pentagone était en cours le 11/9, Donald Rumsfeld a été photographié sur la pelouse devant le Pentagone en train d’aider à transporter les blessés. L’absence de Rumsfeld de son poste de commandement en plein coeur des attentats vient confirmer ce qu’ont découvert des milliers de personnes hautement diplômées, scientifiques, chercheurs, ingénieurs, universitaires, a savoir que le 11/9 était une opération sous fausse bannière menée par des éléments de notre propre gouvernement et de notre armée, aidés par d’autres au sein de certains gouvernements étrangers.

Deux propositions de loi, H. Res 14 et S. 1471, visent à exiger la publication des 28 pages censurées du rapport de l’enquête du Congrès [sur le 11/9], qui portent sur l’implication d’un gouvernement étranger dans les attentats du 11/9.

En partant des preuves physiques et des témoignages oculaires, certains scientifiques indépendants ont conclu que les Tours Jumelles et le Bâtiment 7 du WTC à New York avaient été détruits par une forme de démolition contrôlée à base d’explosifs. Les tours n’ont PAS été détruites par les impacts d’avion, les feux de kérosène ou les feux de bureau. Presque 3000 innocents sont morts le 11/9 à New York, plus d’un millier de personnes ont respiré les poussières toxiques et en sont mortes, et plusieurs milliers d’autres (3700 d’après le New York Post du 9 sept. 2015) sont malades ou mourants du fait de ces poussières toxiques. Cette poudre était constituée de fines particules de béton, d’amiante, de verre, de thermite ou de ses dérivés, et de fragments d’ordinateurs dispersés par la force des explosions.

Les rapports du NIST (National Institute of Standards and Technology) sur la destruction des tours de New York sont frauduleux, comme le montre un article scientifique coécrit par l’auteur de cet article et publié en 2004 par l’IEEE (Institute of Electrical and Electronics Engineers). L’IEEE est la plus grande organisation [d’ingénieurs] dans le monde avec près de 500 000 membres. L’article intitulé « Ethics and the Official Reports » est consultable sur le site ilfattoquotidiano.fr (article original => scientistsfor911truth.com). Depuis le début, les guerres du Moyen-Orient sont fondées sur le mensonge.

Les relations entre les USA et l’Iran aujourd’hui sont la conséquence directe du renversement en 1953 par la CIA et les agents britanniques du MI6 de Mohammad Mosaddegh, le Premier ministre de l’Iran démocratiquement élu. Mossadegh avait nationalisé l’industrie pétrolière iranienne, jusqu’alors sous contrôle britannique depuis 1913.

La guerre d’Irak fut elle aussi basée sur le mensonge des armes de destruction massive (WMD), alors que, comme cela a été reconnu plus tard, le véritable objectif était le pétrole.

Selon certaines estimations, l’Iran possède davantage de réserves de pétrole que l’Irak. L’Iran est aussi perçu comme une menace par Israël, dont l’influence au sein du Congrès US est considérable, comme le prouve l’intervention de Benyamin Nethanyahou le 3 mars 2015, dans lequel il s’opposait frontalement aux accords avec l’Iran.

Ces mêmes prêcheurs de guerre qui nous ont menés à la guerre d’Irak s’opposent aujourd’hui à un accord avec l’Iran. Leurs arguments sont encore une fois basés sur la peur, une technique bien connue pour amener le peuple à soutenir l’idée de partir en guerre. Six jours après le discours de Netanyahou, 47 sénateurs républicains, dont Kelly Ayotte du New Hampshire, ont envoyé une lettre par email aux « dirigeants de la République islamique d’Iran » dans le but de faire obstacle à la politique étrangère américaine et à l’accord américano-iranien. Ces 47 sénateurs semblent avoir leur propre agenda, différent de celui issu du système de gouvernement établi par la Constitution des États-Unis. Cet agenda semble être la domination de pays étrangers et l’acquisition des ressources au moyen de guerres préventives

Les plans néoconservateurs visant à l’hégémonie américaine dans la région du Moyen-Orient avec sa vaste population musulmane paraissent aussi irréalistes que la tentative britannique de diriger l’Inde avec quelques centaines de milliers de soldats.

Ces guerres d’agression violent le droit international en place et ont coûté des milliers de vies humaines. Nous subissons en ce moment le contrecoup de l’invasion US en Irak, au travers de l’émergence de l’EIIL. Avec 32 millions d’Irakiens et 76 millions d’Iraniens, à quoi pourrait ressembler le contrecoup d’une guerre avec l’Iran ? Est-ce que quelqu’un doté d’un cerveau peut raisonnablement se prononcer pour la guerre plutôt que pour la diplomatie qui seule peut mener à la paix et à l’amitié ? Il est grand temps pour le Congrès et le peuple américain d’identifier les forces qui nous dirigent tout droit vers la guerre, de les stopper, et de revenir au bon sens, à la légalité et à la justice.

John D. Wyndham

Peterborough, NH 03458

Le Dr John D. Wyndham est aussi le coordinateur de l’association Scientists for 9/11 Truth.

 

Le Dr David Ray Griffin est cofondateur (avec Elizabeth Woodworth) du 9/11 Consensus Panel, qui a vu le jour en 2011.

À ce jour, M. Griffin a écrit dix ouvrages sur le 11-Septembre.

Cette année, il vient de publier un nouveau livre très documenté sur le réchauffement climatique : Unprecedented: Can Civilization Survive the CO2 Crisis? Cet ouvrage extrêmement complet a été qualifié de « grand service rendu à l’humanité ».

David Ray Griffin a aussi publié un nouvel article : “9/11 and Global Warming: Are They Both False Conspiracy Theories? [11/9 et réchauffement climatique : s’agit-il de deux théories conspirationnistes?]”
À ce propos il écrit :

« Cet essai s’adresse aux membres du Mouvement pour la vérité sur le 11/9, qui pensent que les attentats du 11-Septembre furent un coup monté orchestré par l’administration Bush-Cheney et présenté par eux comme une attaque menée par des musulmans. Certains membres de ce Mouvement pensent qu’étant donné la façon dont on a cherché à nous mener en bateau avec la version officielle du 11/9, le même raisonnement s’applique à la théorie du réchauffement climatique, qu’ils classent également dans la catégorie des théories du complot. J’essaie de montrer que la conclusion selon laquelle le récit officiel du 11/9 est faux ne donne aucune raison particulière de suspecter que la théorie du réchauffement du climat constitue un nouveau canular. Cet article ne cherche pas à remettre en cause les convictions des membres du Mouvement pour la vérité sur le 11/9, mais à contester certaines croyances de ses membres [sur le changement climatique]. »

Cet article a été mis en ligne sous le titre David Ray Griffin Examines 911 and Global Warming et est également téléchargeable au format PDF (en anglais) sur ce site.